Interview d’Alexandre Ratel + chronique globale de ses deux recueils « Le règne des morts » et « Après les ténèbres ».

Bonsoir tout le monde,

Aujourd’hui je viens vous partager mon ressenti final sur les deux recueils de nouvelles 100 % Zombie d’Alexandre Ratel. (Pour rappel vous pouvez vous procurer le premier « Le règne des morts » à 0,99 € aujourd’hui seulement sur Amazon.)

Néanmoins au-delà de mon avis que vous avez déjà pu découvrir dans une certaine mesure au fil des dernières semaines je vous propose aussi de découvrir Alexandre Ratel et son œuvre à travers ses propres mots dans une interview juste au-dessus.

Pour ce qui est de mon ressenti sur ces deux livres donc il reste même après quelques jours de « décantation » plus que positif.

En premier lieu ces deux recueils m’ont permis de sortir d’une grosse semi panne de lecture qui durait depuis plusieurs mois. Ce sont aussi eux qui par extension m’ont redonné la motivation pour tenir à nouveau de manière régulière cette page puis mon blog.

Pour que ça me fasse un tel effet vous devez vous douter qu’on est sur de la qualité et c’est effectivement le cas. Chaque nouvelle de ces deux recueils (26 quand même au total) est travaillé avec une précision presque chirurgicale. Le rythme est toujours maîtrisé afin de nous amener au choc ou à la révélation finale.

Les thèmes sont aussi très variés on peut ainsi passer d’un groupe de soutien contre le fait d’être accro à l’exécution des zombies en passant par une enquête avec pour témoin principal la victime devenue zombie pour terminer sur un couple dont chaque membre est coincé sur un immeuble. Le ton est aussi résolument une des forces de ces récits puisque Alexandre Ratel dans un même récit peut nous offrir de l’humour noir avant de terminer sur une note d’émotion.

Néanmoins le gros point fort de tous ces textes restera pour moi les personnages, en effet je ne me rappelle pas en dehors des nouvelles du maître lui-même Stephen King, m’être déjà aussi facilement et profondément attachée à des personnages qu’on ne suit au final que sur quelques dizaines de pages grand maximum. Je pense notamment ici comme Alexandre Ratel à « Justice pour Howard Lee Stillman » qui est tout simplement un bijou d’humanité et d’émotion dont je suis sûr de me souvenir pendant longtemps.

Je ne peux que vous encourager que vous soyez ou non adepte des zombies à donner une chance à ces textes qui au-delà d’une incursion dans cet univers nous offre tout simplement une plongée dans l’âme humaine.

 

 

 

 

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